samedi 6 novembre 2010

Firefox

Firefox est un navigateur rapide et fonctionnel qui rend la navigation plus efficace que jamais. Plus d'informations à propos de Firefox sont disponibles sur le site de Firefox sur Mozilla Europe.
Firefox 3.6.12 est disponible, dans plus de 70 langues simultanément, dont le français : Windows, GNU/Linux, Mac OS X (binaire universel),
Note : Les téléchargements de la version française officielle ne se feront désormais plus depuis notre site sur sourceforge, mais depuis les serveurs de Mozilla eux-mêmes puisque la traduction y est maintenant hébergée officiellement. Merci encore à tous ceux qui ont participé au travail de traduction et de tests.
Pour les autres plateformes (comme OS/2, Solaris SPARC etc.), vous pouvez utiliser le package xpi, tout en notant bien qu'il ne constitue pas une localisation complète (pas de mise à jour du profil ou des moteurs de recherche) et qu'une recompilation à partir des sources peut être préférable.
Important Si vous vous trouvez dans un pays où l'on parle plusieurs langues (Belgique, Suisse, Canada, …), il se peut que la page d'accueil par défaut apparaisse dans une autre langue. La page est en effet hébergée par Google, et celui-ci détermine la langue dans laquelle afficher son interface en fonction du pays depuis lequel se fait la connexion. Rendez-vous alors à l'index de google pour ce pays (http://www.google.be/, http://www.google.ch/, http://www.google.ca/) et choisissez le français. Ce choix sera enregistré dans un cookie sur votre ordinateur et vaudra pour l'affichage de toutes les pages de Google, y compris la page de démarrage de Firefox.
Comme d'habitude, pour toutes vos remarques et impressions sur Mozilla Firefox, ou pour obtenir de l'aide concernant son installation ou la migration, vous pouvez nous rejoindre sur les forums ou la liste de diffusion de Geckozone, la référence francophone pour tout ce qui concerne Mozilla. Si vous avez des remarques spécifiques sur la traduction, comme un mot mal orthographié ou une fenêtre trop étroite pour contenir tout son texte, n'hésitez pas à nous contacter. Nous ne répondons pas aux demandes de support personnalisé (Geckozone a été créé spécifiquement pour cela), car il nous est matériellement impossible d'aider tout le monde et d'assurer en méme temps une traduction de qualité.

vendredi 5 novembre 2010

Joomla !

Voici donc Joomla !, un système de gestion de contenu pour l’Internet (Content Management System : CMS) qui se démarque des Nukes, Xoops, eXoops, Zope... par sa modularité et de Typo3 par sa simplicité d’utilisation et d’administration : « Je clique, donc je code ». Joomla ! a été développé pour tous. Sous licence GNU/GPL, il est facile à installer, à administrer et il est fiable. Joomla ! n’exige pas que l’utilisateur ou l’administrateur du système maîtrise le language HTML pour permettre son utilisation.
Joomla ! 1.5 prend désormais ses distances de Mambo dont les versions 1.0.x étaient un fork. Joomla ! est un CMS convivial, puissant et ergonomique adapté à des sites vitrines, commerciaux, associatifs, institutionnels ou communautaires. Comme avec les versions précédentes, Joomla ! fournit une structure unifiée et facile à utiliser pour afficher le contenu des sites Web de toutes les sortes. Il s’adapte à la nature changeante de l’Internet et aux technologies Web émergentes. Les efforts déployés pour restructurer de manière substantielle et fondamentale les fonctionnalités de Joomla ! 1.0 ont également permis de beaucoup simplifier l’interface utilisateur des versions précédentes. Ainsi, Joomla ! 1.5 a beaucoup de nouvelles fonctions.
Cette nouvelle version de Joomla ! est une étape technologique importante et marque un moment décisif de l’histoire de Joomla !... Notre progression, loin des vieux codes hérités (NDLR : Mambo), en a fait un framework moderne et flexible.
Son menu d’administration présente les éléments de gestion du contenu plutôt que les fonctionnalités du logiciel : Par exemple, la barre du menu d’administration présente les choix "Articles, News, Menu principal, Sondages...". Il est plus facile de comprendre comment composer les menus et sous-menus, comment ajouter des composants et modules et comment publier des nouvelles. Si vous découvrez les CMS, vous trouverez que Joomla ! offre des solutions étendues pour vos besoins. Joomla ! est donc un CMS de choix pour une petite entreprise ou les utilisateurs qui veulent un site robuste à l’apparence professionnelle, simple à déployer et à utiliser.
Joomla ! permet une grande flexibilité pour l’affichage de votre contenu : Si vous utilisez Joomla ! pour un site blog, des nouvelles ou le site Web d’une société, vous constaterez qu’un ou plusieurs styles de contenu permettent de présenter vos informations. Vous pouvez aussi changer le style de contenu dynamiquement selon vos souhaits.
Côté visiteur, le contenu est affiché au travers du gabarit (ou template) constitué habituellement d’un seul fichier (index.php) en plus de la classique feuille de style et des fichiers images (les fichiers d’origine permettant l’affichage habituel peuvent également être modifiés pour une mise en conformité accrue avec les standards web en s’affranchissant totalement des tables dans la mise en page). Les emplacements ainsi définis dans le template (main, left, right, top, bottom ou des emplacements personnalisés user 1, user 2...) permettent de paramétrer et totalement personnaliser l’aspect de votre site simplement en plaçant vos publications et blocs d’affichage depuis l’interface d’administration (une zone de nouvelle flash, une bannière publicitaire, des nouvelles, des articles, un login de connexion, un module de recherche, etc.).
Avec Joomla ! il est extrêmement facile d’ajouter et présenter le contenu de différentes manières. Tout le contenu est placé dans le corps principal (mainbody) de votre template (gabarit). Il y a trois types principaux de dispositions disponibles dans Joomla ! Tous peuvent être personnalisés par différents paramètres lors de la création de contenu ou de liens de menu.
L’équipe de développement se concentre donc pour nous offrir un moteur simple, fonctionnel et entièrement libre, mais il est possible d’enrichir son Joomla ! grâce à de nombreux composants, modules et hacks d’autres développeurs.
Quelques fonctionnalités de base de Joomla ! 1.5 :
  • Entièrement multilingue, français compris ;
  • Gestion du contenu par Sections/Catégories ;
  • Editeurs WYSIWYG, avec la possibilité pour l’utilisateur de choisir celui de son choix ;
  • Gestion des gabarits (templates) du site par simples clics ;
  • Templates complètement personnalisables incluant l’affichage des blocs (au centre, à droite et à gauche), gestion multiple en fonction des pages affichées, compatibilité avec les normes d’accessibilité ;
  • Gestion des menus et paramétrage individualisés des liens de menus ;
  • Gestion de liens Web ;
  • Gestion des contacts avec formulaire de contact ;
  • Gestion de sondages ;
  • Gestion de bannières publicitaires ;
  • Gestion de média pour gérer vos images et vos fichiers PNG, PDF, DOC, XLS, GIF ou JPEG en ligne pour une utilisation facile ;
  • Changement de l’ordre des objets : nouvelles, FAQ, articles, etc.
  • Affichage de newsflashs aléatoires ;
  • Fils d’actualité RSS/RDF & syndication paramètrable sur toutes les pages ;
  • URLs SEF (Search Engine Friendly) permettant une meilleure indexation par les moteurs de recherche ;
  • Statistiques : qui, quoi, où et quand ;
  • Facilité pour copier et déplacer le contenu entre différentes catégories ;
  • Installeur de composants, modules et gabarits (templates) - zip ‘n’ go ! ;
  • Cache paramétrable et compression des pages pour augmenter les performances ;
  • Archivage du contenu ;
  • Système d’aide intégré ;
  • Emulation du paramètre “php register_globals=off” pour plus de sécurité ;
  • Possibilité de mettre le site "hors ligne" lors de maintenance tout en restant visible d’un administrateur ;
  • Ergonomie améliorée par rapport à Joomla ! 1.0 ou Mambo 4.5 ;
  • Intégration possible d’applications externes à travers des services Web et authentification à distance telle que le “Lightweight Directory Access Protocol” (LDAP) ;
  • Compatibilité des extensions, modules, composants et templates développés pour la version 1.0 ;
  • et plus encore...
Points forts :
  • Mise en oeuvre quasi-immédiate ;
  • Administration en français disponible ;
  • Personnalisation de l’aspect (template) et du contenu de la page d’accueil très simple ;
  • Gestion de la date de publication ou de fin de publication des articles ;
  • Édition des balises META (titre et mots clefs) pour chaque article ;
  • Gestionnaire de fichiers multimédia intégré ;
  • Système de cache (Réduit les accès serveur et donc fluidifie le trafic des visites) ;
  • Interface ergonomique améliorée par rapport à Joomla ! 1.0 ;
  • Communauté internationale très réactive, communauté francophone importante ;
  • Nombreuses extensions (forum, livre d’or, agenda, galerie...) sur le site dédié
Points faibles :
  • Gestion des groupes en natif très limitée (amélioration prévue après la version 1.5) ;
  • Pas de gestion des commentaires liés aux articles (il faut installer une extension externe) ;
  • Absence de sous-catégorie ;
  • Gestion sommaire de l’archivage du contenu.
Joomla ! fonctionne sur de nombreuses plateformes incluant Windows, différente distribution de Linux, plusieurs version d’Unix et Apple OS/X. Joomla ! fonctionne à l’aide de PHP et une base de données MySQL. Il requiert au minimum :
  • Apache 1.x, 2.x ;
  • PHP 4.3 ;
  • MySQL 3.23 ;

Le Logiciel Libre

Qu’est-ce qu’un logiciel ?

 

Pour comprendre le concept de Logiciel Libre, vous devez d’abord comprendre ce qu’est un logiciel (ou encore programme ou application). Du point de vue de l’utilisateur, un logiciel est une application qui répond à l’un de ses besoins (traitement de textes, programme de dessin, jeu, ...). C’est une suite de petites instructions invisibles pour l’utilisateur, qui forme un tout cohérent.
Ces logiciels ont besoin d’un système d’exploitation pour fonctionner. Le système d’exploitation permet d’accéder aux ressources de la machine (lecteur de disquettes, écran, clavier, ...). C’est aussi le système d’exploitation qui se charge d’exécuter les instructions du programme constituant le logiciel.
Les instructions d’un logiciel sont écrites dans un langage que l’ordinateur peut comprendre, le langage machine (ou langage binaire). Mais celui-ci est très difficile (voir impossible) à lire et à comprendre pour un humain.
Pour créer un logiciel, la manière la plus courante est donc de l’écrire dans un langage informatique compréhensible par des humains, et ensuite de le traduire vers le langage binaire. Cette traduction est effectuée par un logiciel appelé compilateur.
Le logiciel dans sa forme compréhensible est appelé source du logiciel, ou source du programme (parfois aussi "code source" par abus de langage), et dans sa version en langage machine, il est appelé "binaire" (ou exécutable).

Qu’est-ce qu’un logiciel libre ?

Un logiciel libre est un logiciel garantissant un certain nombre de libertés à ses utilisateurs.
Nous allons procéder par analogie en comparant le code source d’un logiciel à une recette de cuisine.
Imaginons que vous vous trouvez dans un restaurant et que vous mangez un excellent plat. Peut-être aurez-vous l’envie de pouvoir le cuisiner chez vous pour vos amis ?
C’est impossible si vous n’avez pas la recette du plat. Vous pouvez toujours le manger dans le restaurant, mais même si vous connaissez le goût, vous ne savez comment le reproduire. La liberté d’échanger des recettes de cuisine est essentielle pour les cuisiniers comme pour les simples gourmets.
En informatique, il en va de même pour un logiciel. Le code source est la recette, le binaire est le plat déjà cuisiné. La plupart des logiciels dits logiciels propriétaires sont distribués sans leur code source et il est interdit d’essayer de comprendre leur fonctionnement, de les partager avec vos amis ou d’essayer de les modifier pour les adapter à vos besoins.
Au contraire, un logiciel libre vous garantit quatre niveaux de libertés :
  • utilisation : la liberté d’utiliser/exécuter le logiciel pour quelque usage que ce soit.
  • étude : la liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et de l’adapter à vos besoins.
  • redistribution : la liberté de redistribuer des copies.
  • modification : la liberté d’améliorer le programme, et de rendre publiques vos améliorations de telle sorte que la communauté tout entière en bénéficie.
Ce sont des libertés fondamentales à l’utilisation de l’informatique, à la création et au partage des informations. Les logiciels libres sont avant tout porteurs de liberté de partage et d’accès à la connaissance.
Elles sont bien sûr essentielles aux informaticiens, mais aussi aux utilisateurs, auxquels elles fournissent une maîtrise des outils et des informations, en empêchant toute dépendance permanente vis-à-vis d’un quelconque éditeur de logiciels.

Logiciel libre, freeware, shareware ... ?

Quelle est la différence entre logiciel libre, freeware, shareware, logiciel du domaine public, ... ?
Notons que le terme logiciel libre vient de l’anglais Free Software (où free s’entend dans le sens de free speech (libre expression) et non pas free beer (gratuité). Logiciel libre ne signifie pas "non commercial" ou gratuit.
Un logiciel libre doit être disponible pour un usage commercial, pour le développement commercial et la distribution commerciale. Le développement commercial de logiciel libre n’est plus l’exception ; de tels logiciels libres commerciaux sont très importants.
Le logiciel libre s’oppose au logiciel propriétaire qui n’offre pas les "quatre libertés". "Commercial" et "propriétaire" ne sont donc pas synonymes : si la plupart des logiciels commerciaux sont propriétaires, il en existe aussi des libres ; il existe de même des logiciels non-commerciaux libres et d’autres non-libres.
Un logiciel libre protège la liberté des utilisateurs. À l’opposé, toutes les autres formes de distribution posent des problèmes en matière de liberté pour les utilisateurs. Voici quelques exemples de ces formes de distribution qu’il ne faut pas confondre avec le logiciel libre :
  • un "freeware" (logiciel gratuit ou graticiel), contrairement au " free software ", indique simplement que le logiciel fourni est gratuit, indépendamment de sa licence d’utilisation. Dans certains cas, ce sont des logiciels du domaine public. Le code source du programme n’est pas disponible, ce qui interdit, par exemple de corriger des bugs ou d’effectuer des améliorations ;
  • un "shareware" (partagiciel) est un logiciel dont l’auteur demande aux utilisateurs réguliers de son programme une rétribution volontaire. La rediffusion ou la modification d’un tel programme n’est pas autorisé ;
  • un logiciel du domaine public n’est plus soumis au droit d’auteur. Si le code source est dans le domaine public, c’est un logiciel libre, mais très souvent le code source n’est pas disponible (seul le code binaire est disponible). Dans ce cas, ce n’est pas un logiciel libre.
    Parfois, on utilise le terme "domaine public" d’une façon peu précise pour dire "libre" ou "disponible gratuitement". Toutefois, "domaine public" est un terme légal qui signifie précisément que le logiciel n’est pas "soumis au droit d’auteur".

Un peu d’histoire

Des débuts de l’informatique et aux années 80, les programmeurs de logiciel trouvaient tout à fait naturel le fait de partager les codes sources de leurs programmes. Cette démarche était encouragée par les constructeurs d’ordinateurs, comme IBM par exemple. Le logiciel libre existait déjà dans la pratique si ce n’est dans la forme juridique.
Au début des années 80, différents éléments ont remis en cause cette habitude de partage, et la notion de logiciel propriétaire va apparaître par la création notamment de licences d’utilisation restrictives.
L’un des plus célèbres hackers du MIT, Richard Stallman considérait que cette nouvelle conception de l’informatique était aux antipodes de la manière naturelle de travailler, qui est à rapprocher des pratiques scientifiques de publication, de partage, de revue par les pairs.
Face à cette situation, et pour sauvegarder l’informatique libre, Richard Stallman a initié en 1983 le projet GNU (GNU est un jeu de mots récursif signifiant GNU’s Not Unix). Ce projet visait à concevoir un système d’exploitation complet et entièrement libre. Ce système serait compatible avec UNIX, mais serait différent. Aujourd’hui ce système existe, et s’appelle GNU/Linux. Pour soutenir le développement du projet GNU, la Free Software Foundation (http://www.fsf.org) a été créée en 1985.
Pour valider ce système, une base légale est nécessaire. Cette base légale, créée de toutes pièces, est la licence GNU GPL (pour GNU General Public License). La GNU GPL est la licence des logiciels libres par excellence. Elle détermine des conditions de distribution qui garantissent les libertés de l’utilisateur. On peut estimer à plus de 70 % le nombre de logiciels libres qui sont protégés par la GNU GPL.
Parmi l’ensemble des figures du logiciel libre, Richard Stallman est considéré comme le fondateur du logiciel libre. Il a conceptualisé le mouvement du logiciel libre, écrit quelques-uns des plus célèbres logiciels libres et initié la théorie légale du logiciel libre.

Quel est l’intérêt du logiciel libre ?

Le principal intérêt du logiciel libre ne se situe pas au niveau de ses mérites techniques, mais bien dans l’essence même du logiciel libre : la liberté (liberté d’expression, d’association, d’entreprise, d’user à sa guise de l’information disponible et de la partager, au bénéfice de chacun, donc de tous).
Le mouvement du logiciel libre, se référant à l’utilité sociale, s’oppose à l’appropriation individuelle de la production intellectuelle dans le logiciel. Le logiciel libre permet une réelle appropriation citoyenne de l’informatique.
Au-delà de la liberté, l’intérêt du logiciel libre est multiple : liberté de faire des copies du logiciel pour son propre usage ou pour ses amis ; apprentissage approfondi (pour beaucoup de professionnels, "la meilleure documentation qui puisse exister, ce sont les sources elles-mêmes") ; correction plus rapide des erreurs ; pérennité par la maîtrise du code source et de son évolution ; souplesse par l’adaptation du logiciel à des besoins particuliers ; défense du pluralisme linguistique par la traduction du logiciel indépendamment de l’existence d’un marché ; nouvel état d’esprit dans lequel l’utilisateur veut ou du moins peut apprendre ; indépendance par rapport à un éditeur ; adéquation de l’évolution du logiciel avec les besoins de l’utilisateur ; absence de logique marchande conditionnant les sorties des différentes versions, ...
L’utilisateur ne bénéficie pas directement de l’accès aux sources. La plupart des automobilistes ne connaissent pas le fonctionnement d’un moteur : c’est la même chose en informatique. Maintenant, imaginons un monde où 10% de la population fait de la mécanique pendant ses moments perdus, et passe son temps à améliorer son véhicule. Si vous achetez une voiture d’occasion, vous êtes sûr que le moteur a été amélioré par son propriétaire précédent. On gagne en fiabilité, en performance et en qualité.
En informatique, la même chose existe mais là, vous avez une voiture neuve qui profite de toutes les technologies développées dans des petits garages indépendants par des artisans habiles, et dont les meilleures sont rassemblées dans votre véhicule. Vous êtes sûr de la qualité tout comme de la sécurité. Dans le cas d’un vice de conception, vous êtes quasiment certain que quelqu’un aura détecté l’erreur avant vous et l’aura corrigée.

Ouverture de mon blog!!

Bonjour à tous
Ce blog va vous aider à comprendre un peu l'informatique et ces nouveaux logiciels.Ils vous donne aussi l'opportunité de trouver dans ce blog quelques cours de Multimédia,Bureautique,Internet,création site web avec Dreamweaver,Utilitaires etc...